STARGATE SG.1
e- mail:danieljackson@voilà;.fr
CATEGORIE : AVENTURE
SEASON : après la 3ème saison
ARCHIVE : je souhaiterais que ce fanfic ne soit pas publié sans mon accord.
RESUME : sur une planète envahie par les goa�ulds, sg1 apprends que Charlie, le fils d�O�neill, a été cloné gr&aciàagrave; ses souvenirs et qu�il est leur ennemi.
NOTE DE L�AUTEUR : merci de m�envoyer vos commentaires.
LES PERSONNAGES ET LES PHOTOS SONT LA PROPRIETE DE LA MGM
FILS ET ENNEMI.
SALLE D�EMBARQUEMENT:
HAMMOND
: SG.1 préparez-vous à traverser la porte des étoiles ! Vous allez vous rendre sur P3X1122 ! Vous devez être de retour dans 6h maximum. Au-delà de ce temps, nous enverrons SG.2 pour vous rechercher.O�NEILL: D�accord mon général! Allez, on y vas ! Sam, Daniel, Teal�c, n�oubliez pas le matériel, il nous seras utile !
SG.1 passa à travers la porte. De l�autre côté, ils arrivèrent sur une planète que les goa�ulds avaient envahit.
L�équipe due se montrer très discrète et vaillante car des Jaffas surveillaient les alentours. Teal�c en avait d&eacuàrave; abattu deux sur le côté de la porte.
P3X1122:
O�NEILL
: c�est parti !!! ne faites pas trop de dégâts et faites attentàrave; vous.ne provoquez pas trop Apophis, je n�ai pas envie de me retrouver avec son armée sur le dos !
TEAL�C: J�espère retrouver mon ami Bratack. Ici, il nous serais d�une grande aide !
SG.1 avançait dans la forêt qui se trouvait à proximité de la porte. A la sortie de la forêt, l�équipe découvrit une ville immense, une ville qui ressemblait étrangemenàve; celles que l�on pouvait trouver sur Terre.
O�NEILL: On se croirait sur Terre ! Vous êtes sûr qu�on a passé la porte ?
DANIEL: Peut-être que cette planète fût colonisée par une civilisation ayant des similitudes technologiques avec les Humains. Mais nous ne pouvons faire que des Hypothèses et ...
O�NEILL: Ahhhhhhh ! Daniel ! Chut !
SG.1 entra, inquiet, dans cette ville. Teal�c était en tête de groupe et Sam fermait la marche; Aucun Jaffa n�était en vue, l�équipe contiàagrave; avancer. Cette ville était une de celle typique des USA. Peu de personnes étaient sortis dans les rues, peut être par crainte de se faire tuer. Des immeubles immenses donnaient l�impression de dominer la rue. Carter examinait avec attention les matériaux qui avaientà à construire ces bâtiments.
O�NEILL: Alors, que pouvez-vous nous dire sur ces bâtiments, Carter ?
CARTER: A priori, ce sont les mêmes matériaux que sur Terre. Peut-être que la théorie de Daniel peut se confirmer.
TEAL�C: On dirait que les goa�ulds ont quitté cette planète !
DANIEL: Chut ! ...Cachons nous, voilà quelqu�un !
SG.1 se cacha derrière un conteneur. Deux gardes serpent passèrent. Ils tenaient un enfant, comme s�ils l�avaient fait prisonnier. Jack fit siàrave; ses coéquipiers qu�il fallait délivrer cet enfant. Iàagrave; Teal�c de passer deà à Carter de surveiller leurs arrières. L�équipe avança discrètement pour ne pas se faire entendre. Une fois derrière les deux gardes Jaffas, Jack s�exprima.
O�NEILL: Mmm...salut !
Les Jaffas n�eurent même pas le temps de se retourner que Teal�c tira avec son long bâton et les blessa. L�enfant se retourna et SG.1 découvrit son visage. L�équipe resta figée et stupéfaite. Cet enfant était le fils d�O�Neill, Charlie, mort depuis 3 ans maintenant.
O�NEILL: Charlie ! Ce n�est pas possible ! tu est mort !
CHARLIE: Après ma mort, je me suis retrouvé ici sans savoir pourquoi ni comment.
Après des retrouvailles émouvantes, O�NEILL se repris.
O�NEILL: ça fait plaisir de te revoir. Si on m�avais dit que je rencontrerai mon fils ici, je ne l�aurais pas cru. Mais bon...
Que te voulais ces gardes?
CHARLIE: Les goa�ulds ont envahit la ville ainsi que le reste de la planète. Tout le mondàve; été enlevé, sauf ceux qui se sont réfugiés dans le refuge secret.
O�NEILL: Et ou se trouve ce refuge secret?
CHARLIE: En pleine forêt, qui se trouve de l�autre côté de la ville.
O�NEILL: tu veux donc dire qu�il faut la traverser.
CHARLIE: Oui, mais Apophis a placé des armées tout autour de la ville. Il va falloir être vigilant, même en ville.
DANIEL: Mais pourquoi cette ville ressemble t-elle à celles qu�il y a sur terre?
CHARLIE: La plupart des personnes résidant sur cette planète sont arrivées comme moi.
O�NEILL: Je propose que nous avancionàve; l�encontre des goa�ulds.
SG.1 avança donc à travers les rues de cette ville. Teal�c abattit quelques Jaffaàve; l�aide d�un zat�n�tel.
L�équipe aperçut de nombreux goa�ulds.
CHARLIE: Nous arrivons à la sortie de la ville; Soyez très prudents !
L�équipe se remit en route. Teal�c avait en main son long bâton, Jack tenait son zat�n�tel alors que Daniel et Sam n�avaient qu�un M-16. Ils rencontrèrent des goa�ulds, Jack tira de nombreuses fois et Teal�c en avait blessé quelques uns, alors que le major et Daniel surveillaient les arrières. Jack contacta le SGC et demanda au général Hammond la permission de rester plus longtemps que prévu.
O�NEILL: Général, ici O�Neill.
HAMMOND: Oui colonel O�Neill, qu� y a t il?
O�NEILL: Je demande la permission de rester plus longtemps sur P3X 1122!
Nous y avons rencontré Charlie.
HAMMOND : KAWALSKI !!
O�NEILL :Non, mon fils, général!
HAMMOND: Permission accordée. Vous devez être de retour dans 24 H.
O�NEILL: Merci mon général. Au revoir.
Jack coupa le contact. La nuit commençait à tomber. Le colonel O�Neil décida de dresser un camp pour dormir.
O�NEILL: Bon arrêtons nous! Nous allons dresser un camp ici pour passer la nuit. Carter, Teal�c, Daniel sortez le matériel et la nourriture. SG-1 mangea paisiblement et discuta avec Charlie. Il leur raconta sa nouvelle vie. Après cette longue discussion, SG-1 alla se coucher. La nuit était fraîche. Le ciel était étoilé et éclairé par deux lunes. Après une bonne nuit de sommeil, l�équipe se réveilla, mangea un morceau et se remit en route. Après deux heures et demi de marche, SG-1 arriva devant le refuge secret.
O�NEILL: Plutôt charmant votre refuge.
CARTER: C�est vrai, c�est très beau.
CHARLIE: Alors, entrons, je vais vous présenter.
SG-1 entra dans ce lieu immense. L�équipe traversa un long couloir puis entra dans une grande pièce où il n�y avait personne.
O�NEILL: On dirait que peu de personnes ont pues se réfugier ici. Peut-être se sont elles toutes faites enlevées.
CHARLIE: Je veux vous présenter une personne qui vit ici depuis deux mois.
Quelque femmes entrèrent par une porte qui se trouvait à l�autre extrémité de la pièce. On aurait dit qu�elle cachaient une autre personne. Les femmes avancèrent jusqu�au centre, déposèrent la personne et s�en allèrent . Elle portait un masque.
O�NEILL: Bonjour, nous venons de la terre. Qui êtes vous?
LA PERSONNE: Je sais d�ou vous venez et qui vous êtes.
O�NEILL: Ah oui, et comment le savez vous?
LA PERSONNE: Je le sais, c�est tout.
Femmes, emmenez les à leur chambre !
SG-1 suivit les deux femmes qui les accompagnaient. Toutes les pièces paraissaient vides. L�équipe arrivàve; la chambre. C�était une pièce assez grande qui contenait cinq lits. Les deux femmes laissèrent SG.1 s�installer. Elles emmenèrent Charlie, ce qui inquiéta Jack.
O�NEILL: Eh ! Ou l�emmenez vous ? Il peut rester avec nous.
LA FEMME: Il retourne avec son père.
O�NEILL: Je suis son père !
LA FEMME: Oui, mais quand il était sur la Toree, maintenant c�est le fils de notre chef.
O�NEILL: Le marabout que nous avons vu ?
LA FEMME: Oui, c�est lui.
O�NEILL: Il est assez mystérieux. quel est son nom ?
LA FEMME: Son nom est...
LA PERSONNE: Femmes, ici !! Vite !
Les deux femmes quittèrent la pièce pour rejoindre leur chef. Charlie parti avec eux. O�Neill s�inquiétait pour lui.
O�NEILL: C�est bizarre, pourquoi ne dort-il pas avec nous?
JACKSON: Peut-être que cela fait parti de leur religion ou de leur civilisation.
O�NEILL: Oui sans doute. Bon, allons visiter les lieux.
SG-1 sorti de la pièce et tomba nez à nez avec Charlie.
CHARLIE : Ou allez-vous? Vous n�êtes pas bien installez ici?
O�NEILL: Nous voulions visiter ce lieux splendide.
CHARLIE: L�heure du repas approche, vous êtes bien sûr inviteàve; le partager avec nous.
O�NEILL: Bon, (ben), nous allons prendre notre repas.
CARTER: Il va falloir se dépêcher de finir d�explorer cette planète, mon colonel. Il ne nous reste plus que huit heures avant de repartir.
O�NEILL: D�accord major !
SG-1 retourna dans la pièce pour manger. Le chef qu�ils avaient vu toutàve; l�heure, arriva. L�équipe et quelques femmes mangeaient aisément. Pendant le repas le chef prit la parole.
LE CHEF: Chers voyageurs, je vous souhaite un bon repas et surtout une agréable surprise.
O�NEILL: Et quelle surprise?
LE CHEF: Celle qui va vous dire et montrer qui je suis.
O�NEILL: Ah, enfin nous allons savoiàve; qui on parle.
Le chef souleva son masque avec délicatesse. Une fois fait, SG-1 se leva de stupeur.
O�NEILL: Oh non pas lui !
TEAL�C: Apophis !
APOPHIS: Oui Teal�c, c�est moi ton maître et ton dieu.
TEAL�C: Tu étais mon maître et mon dieu, maintenant je suis sous les ordres du colonel O�Neill et du général Hammond.
APOPHIS: Oh, mais maintenant toi et ton équipe allez être mes prisonniers.
O�NEILL: Et qu�allez-vous faire de Charlie?
APOPHIS: Oh, mais rien du tout.
Jaffa, ici, vite, emmenez les prisonniers dans leur cellule.
UN DES JAFFA: Tout de suite, maître.
Les gardes accompagnèrent les membres du SG-1 en cellule. Jack se posait des questions sur ce qui allait arriver à Charlie. Arrivés à leur cellule, les jaffas jetèrent SG-1 et fermèrent la porte. Pendant ce temps, Apophis parlait avec Charlie.
APOPHIS: Très bien Charlie, tu as réussis à m�amener les terriens. Je t�en félicite.
CHARLIE: Moi aussi maître, je suis heureux. Ces étrangers vont payer pour ce qu�ils vous ont fait.
SG-1 cherchait comment ils pourraient s�évader.
O�NEILL: Pourvu qu�Apophis ne fasse pas de àrave; Charlie.
CARTER: Ne vous inquiétez pas mon colonel. Apophis veut certainement qu�il serve d�otage. Il doit sûrement vouloir acquérir le code d�ouverture de l�iris.
O�NEILL: Si c�est le cas , il n�aura ni Charlie ni le code.
TEAL�C: Il faudrait trouver un moyen de sortir.
O�NEILL: Oui, mais lequel?
L�équipe chercha un plan pendant plusieurs heures. Alors que le temps qui leur restait pour rentrer sur terre était écoulé, le général Hammond se demandait ce qui se préparait.
SUR TERRE:
HAMMOND
: Depuis combien de temps aurais dû rentrer SG.1 ?UN OFFICIER: Depuis une heure maintenant mon Général.
HAMMOND: Ils ont certainement eu un problème. SG.2 et SG.3, préparez-vous ! Vous allez partir sur P3X1122 à la recherche de...
Alors que le Général parlait, la porte s�activa.
L�OFFICIER: Général, la porte est activée depuis l�extérieur.
HAMMOND: Est-ce que c�est SG.1 ?
L�OFFICIER: Le code d�identification est le bon, c�est sûrement SG.1 !
Le champ d�énergie activé, une personne sortit de la porte. C�était Bratack.
HAMMOND: Bratack ! Que faites-vous ici ?
BRATACK: Votre équipe a été enlevé.
Le général Hammond fit monter Bratack dans la salle de briefing, SG.2 était notamment présent.
HAMMOND: Que s�est t-il passé ? Pourquoi mon unité s�est faite enlevée ?
BRATACK: Apophis a tendu un piège à votre unité. A l�arrivée de celle-ci sur cette planète, Apophis a utilisé une technologie permettant de cloner un être vivanàve; partir des souvenirs d�une personne. Il a donc choisi ceux d�O�Neill pour cloner son fils.
HAMMOND: Oui, il m�a dit qu�il avait rencontré son fils Charlie.
BRATACK: Apophis a réussi, par l�intermédiaire du jeune humainàve; amener votre unité dans son palais eàve; les faire prisonniers.
HAMMOND: Ceci explique donc qu�ils ne soient pas rentrés. Bon SG.2 et SG.3 en tenue de combat, vous allez...
BRATACK: Non, je suis juste venu vous informer de l�état de votre unité. Je repars seul, je vais les libérer.
HAMMOND: D�accord, merci Bratack. Je vous demande de les ramener sains et saufàve; la base.
BRATACK: Cela serait fait monsieur.
Au revoir.
HAMMOND: Bonne chance.
Bratack retraversa la porte. Pendant ce temps, SG.1 n�avait toujours pas de moyens pour s�échapper.
P3X1122
O�NEILL
: Je crois qu�on arrivera jamàrave; sortir d�ici. Apophis vas certainement nous torturer ou nous tuer.CARTER: Non, il ne faut pas désespérer mon colonel. Je suis sûr qu�on va s�en tirer. On a connu des situations bien pires que ça.
Bratack était arrivé à l�autre bout de la ville et passa les troupes sans problèmes. Il remonta la forêt jusqu�au palais. A l�entrée de cet endroit, il ferma son armure pour que personne puisse voir son visage. Il croisa quelques gardes alors qu�il venait d�atteindre la cellule de SG.1.
Il arriva à celle-ci peu de temps après. a l�entrée de la cellule, il y avait un Jaffa qui gardait la porte. Bratack l�abattit, lui pris les clefs, et ouvrit la porte.
O�NEILL: Voàve; quelqu�un !
TEAL�C: Apophis peut être ?
Bratack entra, ce qui créa une stupeur pour l�équipe qui croyait ne jamais sortir.
TEAL�C: Bratack, mon ami, je savais que tu serais venu nous délivrer.
O�NEILL: Je suis content de vous !
BRATACK: Dépêchons-nous de sortir ! Mon tir a dû alerter les gardes et Apophis.
Bratack avait raison, Apophis qui entendit le tir venait voir se qu�il se passait. SG.1 pouvait maintenant entendre ses pas. Bratack, qui quand même avait 137 ans, sortit très vite. Apophis, lui entra dans la cellule.
APOPHIS: Qu�est t-il arrivéàve; ces gardes ?
O�NEILL: Rien qui vienne de nous.
APOPHIS: Vous venez donc avec moi, nous allons voir si vous allez répondre de la même façon aux autres questions.
Apophis emmena le colonel avec lui. Il allait lui poser de nombreuses questions. Le faux-dieu l�amena dans la pièce où étaient servis les repas.
APOPHIS: Tu répondras à toutes mes questions, sinon je ne sais pas ce que je vais faire de votre fils.
O�NEILL: Je vous défends de le toucher !
APOPHIS: Ne t�inquiète donc pas, il m�est bien trop utile.
Apophis posa de nombreuses questions auxquelles le colonel ne répondit pas. Dans la dernière question, Apophis lui demanda le code d�ouverture de l�iris. Jack ne répondit rien. Le colonel fut accompagn&eacuàrave; la cellule.
CARTER: Comment allez-vous colonel ?
O�NEILL: Bien Carter, bien ! Comme quelqu�un qui vient de subir un interrogatoire.
Bratack qui s�était caché, non loin de la cellule, sortit, prit son zat�n�tel et tira sur le garde qui se trouvait devant la porte. SG.1 s�en alla vite fait de la cellule et se trouvait maintenant dans le couloir.
O�NEILL: Je croyais qu�on n�en sortirait pas.
BRATACK: Avançons, soyons prudents.
O�NEILL: Bratack, Carter, Daniel surveillez les arrières, Teal�c et moi allons au devant !
CARTER: Bien reçu mon colonel !
SG.1 avança, dans le couloir prudemment. L�équipe n�était àrave; l�abris de l�attaque des gardes. Teal�c et Jack étaient placés en ligne pour surveiller l�avant, alors que Bratack, Carter et Daniel &eaàient à l�arrière.
O�NEILL: On dirait qu�ils ont peur de nous ! Des vrais mauviettes !
BRATACK: Non, sûrement qu�Apophis les a fait appelés pour une réunion.
SG.1 était maintenant arrivé à l�entrée de la pièce où se trouvait la sortiàve; l�autre bout. Apophis donnait ses ordàrave; ses troupes.
BRATACK: Il faut attendre qu�Apophis ait fait sortir ses hommes.
O�NEILL: Ouais, je crois qu�il vaut mieux attendre.
SG.1 attendit dans un couloir proche de la salle. Au bout de 30 minutes, les Jaffas sortirent ainsi qu�Apophis. Les gardes se dirigèrent vers le couloir dans lequel se trouvait la cellule, et Apophis continua dans le couloir qui prolongeait la pièce. O�Neill et ses coéquipiers arrivèrent au bout du couloir et s�apprêtèàagrave; sortir, mais Charlie surgit et pointa SG.1 avec son arme de poing.
CHARLIE: Où alliez-vous ?
Charlie avait une voix semblable à celle d�Apophis.
O�NEILL: Que t�arrive t-il Charlie ?
CHARLIE: Tais-toi , humain !
BRATACK: Ce gamin n�est pas votre fils. A votre arrivée sur cette planète, Apophis vous a pris les souvenirs que vous aviez de Charlie pour faire un clone de votre fils.
O�NEILL: Et je me suis laissé prendre au piège par ce Satan !
CARTER: Il n�y a pas que vous qui vous y êtes laissé prendre mon colonel, nous aussi.
Le colonel O�Neill restaiàve; l�arrière du groupe. Il avait un esprit de vengeance, de haine encore plus fort envers Apophis.
CHARLIE: Jaffas, remettez-les dans leur cellule.
Deux Jaffas arrivèrent pour emmener SG.1 en cellule, mais Bratack et Teal�c les abattirent.
BRATACK: Tu vois, tu ne peux rien contre nous !
Charlie menaça de nouveaux le groupe avec son arme. O�Neill dégaina son zat�n�tel et le visait . Il tira sur lui deux fois de suite, ce qui le tua. Jack était très malheureux. Il savait qu�il ne tuait pas son fils, mais la physique le lui rappelais.
CARTER: Allez, courage mon colonel, c�est dur je sais, mais il faut tenir !
O�NEILL: Merci Carter !
BRATACK: Il faudrait se dépêcher avant que les troupes d�Apophis ne rappliquent. En plus, il y a Hammond du Texas qui vous attends.
O�NEILL: Bon, en route !
SG.1 retraversa la ville à nouveau pour rejoindre la porte. Une fois arrivé à celle-ci, Jack laissa le soin à Daniel de l�activeàve; l�aide du DHD. Une fois que la porte fut activée, l�équipe àagrave; travers, emmenant Bratack avec eux. SG.1 arriva au SGC.
SALLE D�EMBARQUEMENT:
HAMMOND
: SG.1, content de vous revoir !O�NEILL: Nous aussi mon général !
HAMMOND: Alors, qu�avez-vous fait pour Charlie ?
O�NEILL: J�ai dû le tuer mon général, sinon c�est lui qui nous aurais tué.
HAMMOND: Je vous attends dans une heure en salle de débriefing. Bratack, je vous remercie, où désirez-vous aller maintenant ?
BRATACK: Sur Chulaak Monseigneur !
HAMMOND: D�accord ! Sergent activez la porte !
Elle fut activée et Bratack s�apprêtaiàve; la passer.
BRATACK: Au revoir, Hammond du Texas !
HAMMOND: Au revoir Bratack, et encore merci, revenez quand vous voulez!
Bratack passa la porte qui se referma aussitôt.
-FIN-
Bientôt, un nouvel épisode: ISIS